
l’habitant
Ces hébergements promettent un petit supplément d’âme, loin des chambres d’hôtels aseptisées. D’ailleurs, les sites n’hésitent pas à exploiter cette différence, « Pour les oiseaux de nuit », « Bohème », « Pour gourmets et gourmands », « Tendance »… Deuxième point fort de toutes ces formules, l’authenticité. On aime se glisser dans la vie d’un autre et ne pas passer pour un touriste. Dormir chez l’habitant, c’est être en immersion au milieu des « autochtones », et pas dans un décor de carte postale. Le cours de la chlorophylle est en hausse, tant mieux ! Pour une fois, des bons sentiments (aider à la rénovation du patrimoine rural, favoriser les échanges ruraux-citadins, relancer l’activité dans des petits villages moribonds, etc.) ont donné une bonne idée. Et qui marche ! .
Concrètement, une famille rurale (vivant dans une ferme ou dans un petit village) loue au week-end, à la semaine ou au mois, une partie de sa maison.
Dormir chez l’habitant ça s’organise plutôt bien, Sur notre site, 80 % des logements proposés sont des chambres, les logeurs sont donc sur place. « On est très attachés à l’échange culturel. Les hébergeurs sont souvent disposés à faire visiter la ville, à faire à manger à leur hôte ». Une convivialité qui séduit.
